Bureau du Commandant

Le commandant arriva assez rapidement au quartier général, il monta sur les derniers étages et alla prendre place dans son bureau, plusieurs dossiers était arriver notamment sur les derniers arriver du continent. Des forces fraîches et disponible pour l'union colonial, il commença a feuilleté les dossiers et a essayer de penser a ce qu'il était possible de faire.

Il prit quelques notes rapide sachant que de toute façon il aurait besoin de cela a plusieurs moment. Il cherchas aussi assez rapidement le dossier de Haku Sowano, barrant rapidement le titre de conseiller dedans. Et commença a expliquer a certaine personnes ce qu'il faudrait suivre.

-Faite appeler la nommé Sowano Haku, nous avons besoin de mettre a plat certaine choses.

Il farfouilla ensuite plusieurs dossiers, sortant l'un d'eux et continua a demander plusieurs choses.

-J'ai besoin que vous fassiez venir celui dont le prenom est Taro, il est assassin d'apres son dossier.

Il observa ensuite les missions qui avait etait faite, il prit le nom de la seule personne qui avait agit durant son absence.

-Je veux que vous alliez me chercher cette jeune Imaï, j'ai besoin de la voir rapidement, aussi j'ai bureau qu'il y avait eut une jeune bureaucrate assez utile, j'ai besoin de ses services, qu'elle vienne au plus vite.

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Haku, Taro, Imai & Yu' sont demander ici meme.

L'assassin avait eu le temps de boire deux ou trois cafés avant de laisser un billet sur le comptoir et de quitter le bar pour faire un nouveau tour en ville. Mais alors qu'il visitait et commençait à savoir se repérer dans la cité colonial, on vint le chercher.

- Taro Takahashi ? Vous êtes demandé par le commandant, suivez moi.

Taro ne répondit pas et s’exécuta, il suivit le garde à travers la ville. Le groupe passa dans plusieurs ruelle et arriva bien vite au quartier général, logique après tout : le guide de Taro connaissait bien plus la cité que le jeune homme. Le guide s'arrêta devant les portes du quartier général et s'adressa au jeune homme.

- Le commandant vous attend dans son bureau.

- Merci, tâchez de passer une bonne journée.

Taro lâcha un léger sourire à l'homme avant de pénétrer dans le bâtiment et monta les escaliers menant aux bureaux. Il trouva rapidement la bonne porte et frappa doucement à la surface de celle-ci et rentra. Le commandant était assis derrière son bureau, dans ses papiers. Taro se décida à prendre la parole en premier.

- Bonjour commandant, capitaine Takahashi. Je viens juste d'arriver dans votre cité et je me présente à vous afin de prendre mes fonctions.

Dans la vie, parfois, on a de la chance et parfois pas, même si chez certaines personnes la balance penche plus d'un coté que de l'autre. Pour l'instant, Yu était du mauvais coté de la balance pour l'instant. Bref, alors qu'elle se dirigeait vers les commerces, elle fut interpellée par un homme, qui était visiblement de l'union coloniale, et des forces armées, vu son uniforme impeccable. Une autre habitude de la cité, tout était impeccable ici.

-Kagane-san ? Le commandant vous mande dans son bureau.

-Euh...

Ce fut à peu près tout ce qu'elle trouva à dire sur le coup, vu qu'elle n'avait aucune raison d'être demandée par le chef de la colonie. C'était une nouvelle qui était loin d’être bonne, quoique certains l'aurait pris pour une marque d'avancement ou d'honneur. Mais Yu se demandait plutôt quelle bourde elle avait fait pour le coup. A moins qu'il ne soit mécontent qu'elle n'ai pas été à la hauteur de son grade. Elle rit tout doucement, car elle n'avait eu son grade d'officier que par une école, il suffisait d'être relativement intelligent et surtout de posséder un minimum d'argent pour accéder à un poste assez important... et se retrouver embarquer ici !

-Hum, bien, merci.

L'homme prit congé et elle partit vers le centre du village, vers le cœur du pouvoir décisionnel. Elle était relativement effrayée à l'idée de l'entretien, mais il fallait parfois prendre le taureau par les cornes, que diable ! Et si Yu n'avait rien d'une guerrière, si son courage n'était pas celui qu'on attendait, elle était assez forte pour ne pas reculer devant une situation désagréable... Certain appelait ça du courage, d'autre de l'entêtement, allez savoir.

Après quelques minutes de marche, elle arriva devant le quartier général et se dirigea vers le bureau du commandant. Elle n'eut aucun soucis à être introduite, les gens étaient au courant de sa venue (qui était, apparemment, accompagnée d'autres personnes, ce qui la soulagea. On ne l'aurait pas appelée en compagnie d'autres personnes pour la punir... Enfin, normalement non). Avant d'entrer, elle vérifia que sa tenue était impeccable (à défaut d'autre chose) et toqua à la porte. Une fois qu'elle eut la permission d'entrer, elle vint se placer à distance respectable du bureau et fit le traditionnel salut militaire.

-Sergent Kagane au rapport...

Elle laissa son regard divaguer un instant sur la pièce et surtout sur la personne en charge de la colonie, notant ses cheveux verts inhabituels et son costume,mais aussi la personne déjà présente, un jeune homme, une foule de petits détails assimilés rapidement, avant de se reprendre.

-...Commandant.

Elle piqua un léger fard. Une seconde dans le bureau et voilà qu'elle s'égarait déjà ! Se morigénant pour être plus concentrée, elle attendit en silence qu'on lui explique pourquoi elle était là. Ou peut-être qu'elle devrait attendre que tout le monde soit là. Elle adressa également un salut à l'autre personne présente, par pure politesse.

HRP : N'hésitez pas à avancer sans moi dans le rp

La Sowano marchait d’un pas vif et rapide dans les rues coloniales encore bondées par les civils à cette heure là. Le soleil entamait sa descende vers l’Ouest pour terminer cette longue journée (qui durait plus d’un mois irl). Elle débuta son escalade des marches qui menaient vers le quartier général. Elle entra dans le bâtiment et délaissa ses armes qu’elle remit au gros gaillard à l’entrer avant de continuer son chemin pressant vers le bureau du commandant. Malgré sa marche rapide, la jeune femme gardait toujours son air blasé presque ennuyer. Elle termina sa cigarette qu’elle écrasa sous sa botte avant de le jeter dans une poubelle tout près de l’entrée. Elle souffla le nuage de fumée vers le plafond avant de frapper à la porte et de l’ouvrir après avoir entendu le mot « entrer » de l’autre côté de la porte. Elle referma la porte, s’avança de quelques pas tout en gardant une certaine distante de respect, se mit bien droite et plaça sa main au dessus de son front.

- Soldat Sowano au rapport commandant!

Elle attendit qu’on lui demande d’être au repos avant de se remettre en mode blaser et ennuyer. Elle avait déjà localiser une chaise non loin de là auquel elle prendrait place aussitôt qu’elle pourrait enfin délaissé cette position peu confortable qu’elle devait maintenir tant qu’on ne lui demandait pas le repos. Elle regarda droit devant elle, ses yeux fixaient les deux longues mèches de cheveux qui ressemblaient à deux antennes de cafard. Un frisson lui parcouru le dos quand elle s’imaginait le commandant en gros cafard géant, s’était assez répugnant à imaginer.

Alors qu'Higure était a son bureau trois des demandés firent leur arriver ce qui montra la ponctualité et la rigueur colonial. Il fit un leger signe de la tête sans dire un mot de plus a chacun des entrant, il ne pris a aucun moment le temps de ce presenté, il decida simplement de ce lever de sa chaise et aller derriere le premier des trois, il fut le premier arriver et aller donc etre le premier a etre passer au crible par le commandant.

-Cette tenue n'est en rien conforme, j'espere que vous etes plus correct sur vos mission et votre organisation que sur vos tenus et vos manieres. Un capitaine ce doit de montrer l'exemple aux moins gradé que lui, vous n'en etes pas le meilleur, que cela change.

Il fini de faire le tour et lui donna une petite missive directement signer de sa main. Il passa ensuite a la seconde personne entrée dans la piece, celle si etait plus petite mais bien plus dans les traditions de l'union et cela plaisait bien au commandant.

-Capitaine, prenez exemple sur ce sergent, voila une tenue tout a fait réglementaire et parfaitement correct, j'espere pour vous que cela peut vous donnez des idées. Mais passons, j'ai appris que l'administration etait votre point fort jeune femme, j'ai donc pour vous une demande particuliere. De récent événement permette a l'union d'amplifier les capacités de ce village, debrouiller pour trouver ce qui aiderez le peuple a ce sentir encore mieux et ce qui pourrait aider nos soldat a etre encore plus performant.

Il laissa a la jeune Yusuke le loisir de choisir les methodes a utiliser pour avoir ces informations et il passa donc assez rapidement sur le dernier sujet present qui est la Sowano, cette jeune femme au tempérament tout a fait unique, il ce plaça face a elle.

-Suite aux derniers evenement vous n'etes plus membres du conseil colonial. Inutil de revenir sur les raisons, mais quel sont vos souhaits pour la suite ?

Higure resta fixe, il avait donner des indications aux deux autres, a eux de voir si ils restaient ici ou s'ils preferés passer directement a l'action et l'avancement de leurs missions.

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Niveau de difficulté : A [Taro]
Ordre :Apporter le corps de la jeune femme aux commerces et le deposer aux rivieres, lieux indiquer sur une carte annexe. Ceci doit etre fait avec un maximum de discretion et sans temoins.
Qualités requises : Assassin
Emplacement :
Récompenses : 300£ et 32xp – 150£ au coffre du conseil

Niveau de difficulté : B [Yutsuki]
Ordre : trouver de quoi la ville manque et qui apporterai un réel plus a tous.
Emplacement : [4 lieux du village minimum]
Qualités requises : Administration
Récompenses : 220£ et 25xp à la recrue – 110£ au coffre du conseil

Son visage trahi sa surprise et sa colère quand elle appris qu’elle venait de perdre son poste en temps que conseillère. Elle serra les dents et fronça les sourcils, ce qui montrait évidemment sa haine envers le commandant, mais elle fut rapidement remise à l’ordre par l’intervention de son double qui lui glaça tout les membres et radouci ses traits du visage pour le remettre neutre.

« Ne fait pas l’imbécile… tu vas avoir plus de problème. »

« Je sais… mais il fait quand même chier ce cafard à m’enlever ce poste. »

« Tuer les civils du convois n’étaient pas très intelligent. »

« Tsss… je crois que je te préférais quand tu étais détestables »

Le silence revint dans son esprit alors qu’Haku bouillonnait de colère, une colère qui s’estompa lentement pour disparaître complètement, ne laissant qu’un sentiment de vide à l’intérieur. Elle soupira légèrement et tout en gardant sa posture droite et fixant toujours droit devant elle, la jeune femme répondit sur un ton sec à la question du commandant :

- Je souhaite rencontrer mon sauveur pour le remercier de m’avoir sauvé Commandant!

« D’ailleurs je me demande pourquoi je me comporte comme ça alors que le capitaine agit d’une manière désinvolte. Je ne comprends plus rien à cette hiérarchie de l’armée. »

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Désolé du petit poste Smile

Finalement, trois personnes en plus du commandant attendaient debout, en position de repos militaire style union coloniale, c'est-à-dire bien droit et le regard fixé devant, sans pour autant croiser le regard de son supérieur. Le commandant se leva de son bureau (aucun doute ne planait sur son identité, alors qu'eux-mêmes ne savaient rien des deux autres personnes qui attendaient debout avec eux) et inspecta les deux premières personnes, c'est-à-dire les deux premiers arrivés, ce qui comprenait notre très chère Yutsuki !

Elle subit l'examen avec courage et s'empourpra au commentaire, gênée de mettre dans l'embarras le gradé à coté d'elle et également embêtée de l'attention qui se tournait vers elle, mais tout de même soulagée qu'il n'y ait rien à redire à sa tenue-qui était sûrement la seule chose qui n'était pas contestable chez elle, pour un soldat de l'union. Quoiqu'il en soit, on lui attribua une mission qui était apparemment en rapport avec ses capacités... Mais qui lui demandait quand même de faire des efforts. Elle ne pourrait pas se terrer sous des piles de dossier mais devrait sillonner le village pour interroger les villageois mais aussi les soldats, de magnifiques et constructives conversations, elle en était certaine... Elle aurait préféré qu'on lui donne à trier tout les rapports existants de l'Union, la tâche, même insurmontable, aurait représenté quelque chose d'aisé pour son esprit. Mais on ne choisit pas les ordres et Yu prit l'ordre de mission sans rechigner. Elle était déjà contente qu'on essaie de cibler ses maigres capacités pour l'instant.

-Bien Commandant.

Elle attendit encore un petit instant, avant de constater que la discussion dérivait sur un sujet qui n'était plus le sien et elle décida de prendre congé avant de se retrouver plongée dans des histoires qui n'étaient pas les siennes. Après un bref salut, tout à fait conventionnel, elle s'éclipsa. Elle avait du travail et il allait falloir qu'elle se secoue les méninges pour les autres, un travail souvent ingrat, mais qui pouvait être intéressant.

Maintenant qu'il avait rendu ses deux missions de la manière la plus officielle qui soit, Shin s'était dirigé juste après vers le bureau du commandant colonial afin d'éclaircir quelques points non vitaux sur la mission qu'il avait effectué, tel que la simple interrogation sur la date d'une mission similaire et justement aussi le fait de savoir si il avait un autre travail pour lui, après tout, une telle réussite de mission plus les gains annexes motivaient de beaucoup le chasseur a poursuivre cette collaboration fructueuse. Du coup il dut entreprendre une belle ascension pour atteindre le dit bureau qui se situait toute en haut de la tour du conseil imageant ainsi un peu plus la position de l'homme à ce poste, ce fut d'ailleurs durant cette montée que le chasseur se plaignit un peu mais intérieurement de cet état de fait.

"Je sais que c'est la personne la plus importante du patelin mais il aurait pu rendre son bureau moins chiant à atteindre. Ca doit être drôle si un mec doit venir le voir pour une urgence et qu'il doive monter en personne."

Pour se faire plaisir, il s'amusait à imaginer le soldat tombant aux pieds de Higure complètement essoufflé et s'étouffant à moitié en essayant de parler à son supérieur. Cette petite pensée moqueuse sortit de son esprit quand il atteignit le porte du Herr Kommandant à laquelle il prit le temps de frapper avant d'entrer. Il eut la surprise de voir que son commanditaire n'était pas seul dans la pièce, vu qu'il semblait en espèce d'audience avec la femme qu'ils avaient secouru et une personne qu'il n'avait encore jamais vu et qu'ils étaient d'ailleurs tout deux dans un position assez sérieuse que la chasseur ne reproduit absolument pas en se plaçant à coté d'eux, tout en s'adressant à leur patron.

Salut.

Malgré l'amusement qu'il éprouvait à les voir aussi sérieux, il se retint tout de même d'aller serrer une nouvelle fois la main de son commanditaire.

J'avais quelques détails ou questions à voir avec vous mais je tombe peut être au mauvais moment, c'est vous qui voyez.

Il attendrait patiemment la réponse du commandant mais il était certain que si il lui demandait de repasser, il attendrait patiemment son tour dehors pour ne pas se refaire la montée une autre fois.

Deux autres personnes rentrèrent derrière Taro, deux femmes. L'assassin jeta un bref coup d’œil à ces dernières, elles étaient toutes les deux plus petites que l'homme et ce fut le seul détail qu'il remarqua avant que le commandant ne prenne la parole en s'adressant tout d'abord au capitaine. Il lui reprochait sa tenue vestimentaire, ce qui surprit le jeune homme. Cependant il se contenta de répondre simplement :

- Il sera fait comme vous le désirez commandant.

" Ne le contrarions pas en se montrant arrogant. Le silence est d'or. "

On lui donna une missive qu'il lut rapidement en continuant à porter une oreille attentive aux propos du commandant, il n'aimait pas être comparé à quelqu'un d'autre et le fait que la comparaison soit faite par rapport à une femme l'irritait mais il affichait quand même un petit sourire de circonstance. On lui avait apprit à toujours respecter ses supérieurs et se permit simplement une pensée.

" Il n'a pas l'air de comprendre que cette tenue me sert pour l'infiltration, mais passons. "

Alors qu'il chassait cette pensée de son esprit, un autre homme entra dans le bureau. L'homme n'avait rien d'un soldat de l'Union Colonial mais Taro n'y prêta aucune attention et pencha légèrement la tête vers Shin afin d’imiter un bonjour. Simple mesure de précaution, si jamais cet homme était un haut gradé. Quant il fut sûr que le commandant n'avait rien de plus à lui reprocher, il décida de débuter sa mission et après avoir effectuer un salut militaire de routine, il s’éclipsa du bureau en lâchant quelques mots par politesse :

- En vous souhaitant une bonne journée, commandant, mesdemoiselles, monsieur...

Tout le petit monde dans le bureau ce mis a réagir plutot rapidement et sans emmètre trop de souci face aux ordres du commandant. Celle qui etait maintenant de maniere officielle l'ex-conseillere, fut la premier a réagir, son ton n'etait pas du tout correct et elle avait apparemment completement oublier ce que les mots respect et hiérarchie pouvait signifier dans l'armée colonial. Higure ne releva rien et repondit simplement a sa demande.

-Tu veux le voir, cherche le. Je ne suis ni ta secretaire ni la pour ce genre de chose. Tu souhaite en faire la demande, effectue les choses convenable et formule une requete au niveau des chercheurs.

Ce fut ensuite Yutsuki qui fit un depart des lieux pour aller directement remplir sa mission sans repondre quoi que ce soit, le commandant venait de percevoir une gene chez elle, mais il ne savait pas encore si c'etait du a sa personne ou a la mission qu'il venait de lui demander.

Ce fut ensuite le chasseur qui fit son entrée, saluant sobrement Higure qui lui repondit au depart par un simple signe de la tête. C'est alors que l'assassin fit son depart des lieux ne laissant ici que les trois qui etaient a l'exterieur et aussi qui avait rammener les deux corps qui avaient permis de gagner une petite somme a tout ce jolie monde.

-Salut, j'ai un petit bonus pour toi, la mission a etait réussi et nous a permis pas mal de chose, alors il est logique que tu gagne une part la dessus.

Higure attrapa une liasse de billet derriere son bureau et la posa sur un coin de celui si. Il lui offriat six cent £ivres de plus afin que ce chasseur sache que tout avait un prix de base, mais que selon la reussite il etait possible de ce remplir encore plus les poches.

-Vous avez a discuter tout les deux, quand vous aurez fini ici chasseur, trouver moi au marché, nous pourrons aller ce remplir le ventre et discuter de ce que vous souhaitez. Et oui, je vous offre le repas mais a charge de revanche.

Higure sortie du bureau faissant signe aux gardes a l'exterieur de laisser sortir les deux apres leur discutions et ensuite verouiller le bureau. Il descendit calmement les escalier et commença a avancer en direction du marché ou il pourrait assez facilement trouver de quoi faire plaisir a certain et sans doute ce faire plaisir.

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6745 - 600 = 6145 Ressources colonial
Shin 1500 + 600 = 2100 £

Validé

Après l'arrivé tranquille du chasseur dans le bureau du commandant, les personnes en présence s'activèrent un peu plus et finirent par sortir de manière plus au moins rapide le laissant en présence de la demoiselle qu'il avait dut courser et latter il n'y a pas si longtemps et le possesseur originel du bureau. Du coup ce dernier prit le temps de répondre aux personnes avant que lui même ne soit arrivé sur une requête ou elle demandait à voir sur une personne en particulier chose qu'apparemment Higure n'avait pas envie de faire, de part le fait que la demande paraissait non adapté aux deux personnes qui discutaient. Pendant ce petit échange, Shin se demandait si la demoiselle parlait de lui en repensant avec une certaine ironie à la fameuse histoire que le commandant lui avait raconté sur le retour. Puis ce fut enfin son tour, il eut droit à une petite prime bien agréable sous forme d'une belle liasse qu'il prit sur le bureau après qu'elle fut posé devant lui.

Merci, et on me demande pourquoi j'apprécie le travail colonial.

Il était en train de ranger son petit gain supplémentaire quand Higure ajouta une petite phrase qui confirma ses soupçons et qui révéla à la demoiselle que la personne qu'elle demandait à voir c'était lui.

"Chi... d'autre chose à faire."

Du coup il préféra prendre les devants et refroidir d'une certaine manière une quelconque ardeur à quoi que ce soit vu qu'il avait deux trois trucs à faire avant et que le commandant l'attendait même dans les commerces coloniaux.

Désolé je n'ai pas le temps de discuter avec toi pour le moment, j'ai des trucs qui m'attendent, on essaiera de se croiser plus tard.

Sans vraiment attendre une quelconque réponse, le chasseur ouvrit la porte et partit à la suite de son commanditaire qui avait déjà pris une sérieuse avance en le laissant dans une situation potentiellement embarrassante et laissant de ce fait la demoiselle soldat seul dans le bureau.

Après avoir parlé avec Haku, Yua retourna au quartier générale pour effectuer des tâches nécessaire au bon fonctionnement du village. Elle entra dans le hall du bâtiment central et puis monta jusqu'au bureau du commandant. Encore une fois elle avait gardé sur elle ses armes, c'était son petit privilège à elle. Une fois entré dans la pièce dédiée à son frère, ce dernier répondit à ses appels et lui indiqua plus ou moins ce qu'il faisait, et où il se trouvait. Apparemment il voulait rechercher le calme, faire l'impasse sur les voix qui envahissaient constamment leurs esprits. C'était le prix à payer pour qu'ils aient chacun accès aux avantages offerts par leur don, mais Yua était effectivement plus à l'aise que lui dans la gestion de ce phénomène.
Cela lui demandait un contrôle permanent, notamment de ses propres émotions, et elle ne pouvait pas reprocher à son jumeau de vouloir profiter du silence de temps en temps.

Tout en l'écoutant, la jeune femme tria quelques dossiers et toute la paperasse qui attendait les mains avertis d'Higure. Elle n'était pas enjouée de devoir s'occuper de cela, seulement son rang lui permettait tout de même de s'occuper de certains documents comme l'aurait fait son frère. D'autres s'adressaient particulièrement à lui ce qui l'empêchait de les consulter, ils venaient du continent et ne pas respecter la confidentialité de leur lettre n'était pas une bonne idée. Et puis ce serait déroge aux règles hiérarchiques.

« Ce n'est pas très malin de t'aventurer seul hors de la ville juste après avoir rendu les corps de nos ennemis. »

Yua n'était pas très rassurée en effet, ce qui expliquait le manque de chaleur dans ses propos. Elle continua de traiter la paperasse, maudissant son frère de ne pas être là pour s'en occuper.

« Si tu ne rentres pas suffisamment rapidement, je saurais te retrouver. »

Encore une heure passée à consulter toutes les formalités et la jeune femme décida de s'arrêter. Elle se dirigea donc vers les fenêtres laissant passées la lumière dans le bureau pour observer ce que les colons et les ceux originaires du Yuukan avaient accomplis.

« Je n'ai toujours pas trouvé de conseiller à la hauteur de nos espérances. Tous les bons candidats sont peut être entrain de dormir, ou bien ils s’aèrent l'esprit comme toi. »

On frappa à la porte pour ramener d'avantage de dossier à feuilleté, mais la capitaine n'était plus disposée à effectuer sagement ce travail de substitution.

« C'est le moment de les réveiller. »

Elle sortie du bureau, l'important ici avait été fait, et le retard prit avait été rattrapé.

Le temps passe à cause du manque d’inspirations de l’auteure et que c’est le temps des faites. A cause de cela, Haku ne parvenait toujours pas à rejoindre le quartier général de la ville. C’est en ce trainant les pieds (et en ce donnant un coup de pied au cul pour poster) que la jeune Sowano escaladait sans effort l’escalier qui menait à l’intérieur du quartier général. Elle n’était pas très pressé de ce rendre en face de Yua. Elle n’était pas du tout pressée de la voir d’ailleurs et plus tard elle la verrait et mieux elle se sentirait. Elle aurait bien pu la faire attendre plus longtemps, mais l’auteure désirait faire bouger un peu les colons et ne pas les laisser s’enfoncer dans l’oubli total. Cessant de passé de la réalité à la fiction, Haku montait l’escalier très lentement en prenant le temps de regarder les photos de la colonie sur l’autre continent ainsi que celle du général qui s’occupait de la colonie à distance.

« Elle n’aura pas grand information concernant les Sowanos… je doutes que leur fuite en dehors du village shinobi sera très pertinente, mais ce légume vert devra s’en contenter.»

Elle sortie son paquet de cigarette pour constaté qu’il ne lui en restait plus. Elle soupira et elle se mordit la lèvre inférieure presque au sang, laissant une légère ouverte rougeâtre sur sa lèvre inférieure auquel elle passa sa langue pour goutter le léger arrière goût de sang qui venait s’étendre sur ces papilles gustatives. Elle écrasa le paquet de carton vide qu’elle jeta dans une poubelle et continua d’avancer. Comme elle ne pouvait pas calmer ces nerfs à vif, elle aurait bien pu jouer avec ces pistolets, malheureusement pour elle, elle avait dût garder ces armes à l’entrée comme d’habitude.

« Je finirais pas lui mettre une balle dans le crâne. »

C’est avec les pensées sombres qu’elle s’arrêta devant le bureau du commandant. Elle se fit craquer le cou et les jointures avant de soupirer et de donner deux violents coups sur la porte qui vibra sous les chocs que faisait la jeune femme. Un moment s’écoula puis Haku entra au moment que Yua quittait le bureau.

- Puis-je faire mon rapport sal… Capitaine!

Elle attendit un moment avant de commencer son rapport quand elle fut sûr que Yua l’écouterait :

- J’ai contacté le sous-chef du clan Sowano… Shin Sowano pour être plus précis et j’ai réussi à avoir certaine informations sur leur venue dans la ville. Ils se sont installés dans la colonie au moment de sa création. Ils auraient quitté le village Shinobi à cause d’une guerre civil qui s’était déclenché au sein du clan. Selon leur dire et les informations que j’ai récupérées, un conflit interne aurait eut lieu et pour ne pas périr, ils se sont ralliés à la cause coloniale. Ils n’ont aucune raison d’en vouloir au colon et de tenter quoi que ce soit face à la colonie. Ils resteront fidèles et serviront le commandant… Nous n’avons rien à craindre d’eux…

Durant ces trois dernières phrases, Haku semblait avoir eut un certain malaise. Ces pensées s’embrouillèrent un peu quand elle pensait au raison réelle de la venue des Sowanos. Elle plissa les sourcils et ferma les yeux un moment pour ne pas être perturber plus longtemps par ce brouillard qui venait envahir son esprit ainsi qu’un chuchotement incompréhensible qui venait hanté le fond de son âme. Elle cligna des paupières et elle leva ensuite les yeux vers Yua.

- Cela vous satisfait-il, Capitaine?

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Citation :: Niveau de difficulté : C
Ordre : Obtenez des informations sur la famille Sowano. Également sur ceux du coté ninja (même si elles ne sont pas actuelles).
Emplacement : Village coloniale
Qualités requises : Espion
Récompenses : Sanction, 18xp et 75ryos au coffre
Juste ici

Xp depart 478 + 18 = 496

Avant de sortir de cette pièce où personne ne voyait Yua réagir humainement, sans contenir le moindre levé de sourcils possible, cette dernière caricatura son frère qui répondait à ses inquiétudes en refusant de croire au moindre danger concernant une embuscade ennemie, ou même à la venue de sa sœur s'il tardait trop.

-Qu'est-ce qu'il peut être têtu.

Cela pouvait être l'un des caractéristiques de l'un de leurs ascendants, mais seuls ceux les ayant côtoyés autrefois pourraient le confirmer. Concernant leur parent, la jeune femme n'était pas en mesure de le savoir. Elle ne pouvait même pas confirmer la provenance de sa couleur de cheveux, venait-elle du coté maternelle, ou bien paternelle ? La seule certitude résultait dans le fait que ni leur père ni leur mère n'avaient de chevelure d'une telle couleur. Même le peu de souvenir qu'elle avait d'eux pouvait le lui confirmer ; c'était là une chose aisée à se rappeler.
Celle parfois appelée salade verte ou encore plus récemment légume vert à cause de ce détails physique ouvrit la porte du bureau du commandant en pensant à ces questions insignifiantes. Elle tomba alors nez à nez avec Haku Sowano, la personne qu'elle s'amusait à torturer par sa simple présence. Elle l'avait entendue arrivée évidemment, comment passer à coté de pensées porteuses d'autant d'agressivité ?

«J'ai hâte de voir sa réaction le jour où elle fera le lien entre les dons d'Higure et ceux que je pourrais éventuellement avoir. »

Ce n'était pas encore le moment de la mettre mal à l'aise en lui révélant ce qu'elle pouvait entendre de ses pensées les plus intimes, il valait mieux au contraire faire monter encore plus la mayonnaise, ce ne serait que plus jubilatoire. Yua arriverait quant à elle à se contenir jusque là, même si les menaces et les insultes devenaient de plus en plus intenses.
Le soldat commença son rapport sans attendre, comme une bombe qu'elle était pressée de passer à d'autres mains pour mieux s'enfuir. La capitaine s’efforça de rester concentrée, mais ce que lui disait son frère à ce moment là était plus intriguant que les résultats de cette opération.

« Il y a un problème avec la tenue ? Ce serait bien la première fois.
Eh bien... je dois bien avouer qu'un peu d'action me ferait le plus grand bien. »

Haku était sur le point de terminer son rapport quand quelque chose d'étrange brouilla les perceptions de Yua. Manifestement, le soldat fut elle aussi perturbée par ce phénomène, mais la capitaine était pour le moins très frustrée, c'était la première fois qu'une telle chose arrivait et ce n'était pas normal. Elle tenta d'en percer le secret, profitant d'un silence qui se fit extrêmement pesant, mais elle fut forcé de stopper sa progression.

« Mais... ce n'est pas possible... »

Les fonctions cérébrales d'Haku devaient être réduites à néant si elle voulait aller plus loin, or c'était le seul moyen de comprendre.

« Cette fois, c'est moi petit frère qui aurait aimé t'avoir avec moi pour que tu entendes ça... C'est à dire rien. La Sowano me cache quelque chose et je n'arrive pas à savoir quoi. »

-Soldat, êtes-vous sortie du village, ou avez-vous eut un quelconque contact avec un individu inconnu ou vous paraissant suspect depuis que je vous ai assignée à des ordres ?

Cette fois-ci, Yua espérait bien qu'on ne lui empêcherait pas de vérifier la véracité de ses réponses, si ce n'était pas le cas, alors la situation se révélerait bien plus grave qu'elle ne le pensait actuellement.

-Avez-vous eut des pertes de mémoires récemment, un trouble, un évanouissement ou quelque chose de semblable ?

L'espionne avait suffisamment étudié la question pour savoir que les shinobi aussi avaient leurs atouts dans leurs manches pour perturber la mémoire d'une personne, pour la manipuler, ou pour toute autre sorte de choses leur étant profitable.

« Je crois que tu vas devoir m'attendre si tu comptes vraiment sur moi, à moins qu'il soit possible de mettre la Sowano KO rapidement et sans bavures. »

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Récompenses en attente

Elle fut quelque peu surprise de voir que Yua semblait inquiète, se qui aurait certainement fait sourire la Sowano si celle-ci avait eut le cœur à la rigolade, mais son esprit était plutôt perturber par ce nuage vaporeux qui disparu aussi rapidement qu’il était apparu. Les questions fusèrent de la bouche de la capitaine pour venir harceler les oreilles du soldat. Les mots mentionner avec froideur venait s’abattre avec violence dans son esprit, lui donnant un violent mal de tête à force de réfléchir à une réponse. Fronçant les sourcils, la jeune femme cherchait dans sa mémoire les dernières choses qu’elle fit, mais se qui lui venait à l’esprit à ce moment là fut ceci :

Elle était à l’avenue du village, assise sur un banc qui entourait la fontaine. Réfléchissant à diverse chose et surtout la manière dont elle ferait sa mission, elle fut accostée par Shin Sowano. Les deux colons discutèrent de tout et de rien, puis sans savoir pourquoi, un grésillement, comme une perturbation dans la mémoire d’Haku eut lieu, puis on revit nettement Haku et Shin qui discutait cette fois de l’histoire du clan Sowano. Avant de partir, le Sowano salua Haku d’un signe de main, puis ce fut le noir total.

- Je me rappel avoir discuter avec Shin Sowano, membre du clan Sowano et sous-chef… il m’a raconter l’histoire des Sowanos puis nous avons discuter pendant quelques heures ensuite il m’a laissé seule… puis je me suis endormi.

Elle plissa les paupières et se concentra davantage, car elle n’était elle-même pas certaine de la véracité de ces propos. Elle revoyait Shin clairement dans son esprit, puis une autre perturbation alors que les lèvres du sous-chef s’articulaient sans en faire sortir des mots clairement audibles. Alors qu’un son semblait finalement vouloir jaillir dans l’esprit d’Haku, le sous-chef en question arriva derrière Haku et la fit sursauté en déposant sa main sur son épaule. Il leva ensuite les yeux vers Yua et toujours avec son regard blasé et sa cigarette au bout des lèvres, il lui dit froidement :

- Désolé de vous déranger capitaine dans votre entretient avec Haku Sowano… mais je dois vous parlez de la place disponible en tant que conseiller. Haku était notre représentante dans la colonie, je souhaiterais donner un nouveau candidat à ce poste.

« Je ne l’ai jamais vu parler autant… il va se fouler la mâchoire. »

- Enlève tes sales pattes de mon épaule!! Dit-elle avec arrogance.

Il ne dit rien et il ne fit qu’obéir en faisant frôler sa main sur celle d’Haku et d’y déposer un paquet de cigarette plein, se qui ferait sourire la Sowano une fois qu’elle serait seule, mais pour le moment, elle gardait un air sérieux.

Comme réponse, Yua eut le droit à l’accès aux souvenirs d'Haku qui furent cette fois plus riches en détails puisqu'elle pouvait presque rejouer la scène dans son esprit comme si elle en avait été le témoin. Elle revoyait l'avenue du village, la foule, l'eau de la fontaine jusqu'à la moindre goutte, quelques paroles échangées puis un noir, encore quelques paroles, et à nouveau un vide, un trou béant subsistait dans sa mémoire et cela surprenait Haku elle-même.

« Elle s'est fait manipulée.. »

-Vous vous êtes endormie, mais com...

Sa phrase à peine finie, le sous-chef du clan se présenta aux deux femmes, comme de par hasard ! La Sowano avait délivrée à nouveau quelques informations le concernant, il apparaissait désormais évident que Shin était l'auteur de ce subterfuge, et cela n'avait rien de coloniale comme méthode. Au contraire, avec le complot que cela pouvait impliquer, Yua était certaine que ces individus devaient caché des shinobis de son genre dans leurs rangs, et qu'ils n'avaient pas oubliés la façon dont on se sert du chakra.

«Finalement, ça n'aurait pas pu être plus facile petit frère. »

-Dans ce cas, après vous.

La capitaine ouvrit la porte du bureau calmement et laissa passer le Sowano qu'elle suspectait de traite, mais qui voulait s'entretenir avec elle.

-Vous aussi Soldat.

Haku n'irait pas profiter de son nouveau stock de tabac tout de suite, à moins qu'elle ne prenne le risque de le faire en présence de la salade verte. Ça pourrait faire un bon mélange qui sait. Mais pour l'instant la propriétaire de cette chevelure la préférait à ses cotés plutôt que vagabondant dans les avenues avec une partie du cerveau manipulée par un rebelle. Et puis, le jeu aurait été moins drôle.

-Je vous écoute.

Shin et Haku entrèrent dans le bureau. La Sowano s’écarta un peu pour prendre place sur un divan alors que Shin, restant à une distance respectable de la capitaine, commença à expliquer la raison de sa venue (très peu subtil) devant la salade verte (un peu de vinaigrette avec ça?)

- Pardonnez encore une fois mon intrusion dans votre conversation capitaine… mais je souhaite présenter au poste de conseiller le membre Yarisa Sowano. C’est un membre très respecté dans notre clan et il a fait honneur à la colonie en combattant à ces côtés pendant les affrontements contre les Shinobis face au troupe de l’ancien Hokage dans les cavernes. Il représenterait le clan Sowano et la communauté minoritaire de la cité.

Haku, de son côté, ne disait rien en particulier, elle ne faisait que regarder Shin et Yua à tour de rôle. Elle cru apercevoir le regard du Sowano se tourner vers elle alors qu’un sourire à peine visible arqua le coin de ses lèvres. Elle détourna le regard, sentant un malaise très peu confortable l’envahir. Elle sortie une cigarette de son paquet, elle allait en profité tant qu’elle en avait sur elle et le sentiment d’inconfort sûrement causé par le manque, se dissiperait certainement après la première aspiration. La fumée fut transformée dans l’air qui fut envahi par une odeur de tabac qui empestait le bureau du commandant.

« C’est quelques minutes sans vous mes chéries me fit la plus grande peine… mais je vous ai enfin retrouver. » Pensa-t-elle concernant ces cigarettes.

- J’espère que cette discussion ne durera pas trop longtemps… j’ai envi de me reposé un peu, cap’taine.

Mais en réalité, elle désirait juste aller boire un peu et reprendre sa place de tireuse au poignet dans un bar miteux de la ville. Pour s’amuser et ne plus endurer cette plante verte.

La plante verte.. donc, laissa s'installer son invité dans un bureau qui n'était pas vraiment le sien. Elle resta les yeux rivés sur le Sowano qui pour elle était vraiment très louche et d'ailleurs trop poli à son goût. C'était répétitif, trop peu sincère. Mais la suite de son discours avait un peu plus d’intérêt à son sens puisqu'il demandait à intégrer au conseil un nouveau membre de ce clan, apparemment un individu méritant.

« Hum, c'est vraiment très...ironique. »

-Je vous ai écouter, mais j'aurais quelques questions à vous poser avant de donner une quelconque réponse.

Yua s'apprêta à commencer son petit jeu, du moins à profiter de la longueur d'avance qu'elle pensait avoir sur cet homme mais Haku venait d'allumer une cigarette, et demandait déjà à ce que la discussion se termine. La capitaine dévia son regard vers la jeune femme qui adoptait une attitude très relâchée, qui ne correspondait aucunement à la situation.

« Elle se croit déjà dans son bar. »

-Depuis quand vous permettez-vous ce comportement ? Vous êtes encore en service, soldat, gardez pour vous vos plaintes inutiles.

Si la télépathe avait été de ce genre là, Yua aurait haussé considérablement le ton et aurait accompagné ses paroles par des froncements de sourcils seulement elle était à nouveau resté impassible. Sa froideur était bien plus parlante et énervante pour Haku qu'une démonstration claire et évidente de colère. Elle reporta par la suite son attention sur Shin, comme si le méfait était déjà passé.

-Cet individu, Yarisa Sowano, est-il homme aussi digne de confiance que vous ?

Elle joignit ses mains derrière son dos et adopta une pose sérieuse sans rien laisser deviner de ses pensées.

-Je vais vous demander d'être franche, pour sauver votre honneur.

A nouveau, la jeune femme laissa passer du temps pour qu'une tension s'installe, et qu'elle puisse s'amuser avec un peu de suspens. Pourtant elle resta assez soft cette fois-ci.

-Avez-vous manipulé l'esprit du soldat Haku Sowano afin de dissimuler des informations quelconques au commandement colonial ?

Ensuite de cela, un semblant d’interrogatoire fut imposer au Sowano. Haku de son côté restait toujours écrasé dans le fond du divan en rêvant à une bonne bière bien froide entourant d’homme à moitié saoul, mais elle fut rapidement remise à sa place par le capitaine qui le lui répéta à nouveau que son comportement était approprier. Elle eut pour seule réponse un nuage de fumée qui se dissipa dans l’air avant de frapper son visage.

Les questions du capitaine envers Shin Sowano débutèrent, mais celui-ci restait toujours impassible. Il écoutait les questions sans broncher et il lui répondit calmement, très calmement à tel point que cela en devenant surprenant de pouvoir douter de lui.

- Que voulez-vous insinuer capitaine? Cette cité m’a sauver la vie et à celle de ma famille… Pourquoi en voudrais-je au Commandant alors que c’est grâce à lui que je suis en vie aujourd’hui?

Il eut une courte pause avant que Yua enchaîne avec la seconde question. Quand celle-ci termina de pauser la dite question, Shin paru choquer de savoir qu’un membre de son clan c’est fait lavé le cerveau. Il tourna le regard vers Haku qui restait toujours aussi impassible, ne faisant plus attention depuis longtemps à la conversation. Selon elle, cela ne la concernait plus, même si cela était complètement le contraire.

- Je n’ai pas manipuler son cerveau, pourquoi aurai-je fais cela? Je tiens à chaque membre de ma famille, aussi loin qu’elle puisse être… je ne lui aurai jamais fait cela.

Son ton de voix semblait s’adoucir légèrement pour montrer un certain sentiment qui se dégageait de ces derniers mots. Il dit la dernière phrase en tournant le regard vers Haku, puis il retourna ensuite vers Yua.

« Je vais lui faire payer a celui qui a fait cela à Haku! »

« Qu’on s’ennui… cette conversation peut-elle se terminer! »

« Non, car cela permet du RP entre membre…»

«Dégage du Rôle play!! »

Shin, lui aussi, savait maintenir ses émotions en tout circonstance. Il ne s'offusqua pas des accusations du capitaine et y répondit avec sincérité. Ça, elle en était sûr ce qui, du coup, la contraria. Yua aurait bien aimé que Shin soit le véritable responsable de ce problème de perception, mais visiblement, il s'agissait de quelqu'un d'autre. Elle devait donc expliquer ses propos.

-Le soldat Sowano nous dissimule des informations, contre son gré. Il apparaît en effet que sa mémoire ait été comme effacée suite à votre récente conversation. Or elle était chargé de recueillir des informations concernant l'histoire de votre clan. Puisque vous étiez le dernier avec qui elle se souvient avoir parlé, mes soupçons venaient directement à vous.

La jeune femme déposa Sanction sur le bureau pour soulager ses épaules, puis elle reprit ses explications.

-Vous n'êtes donc pas impliqué, seulement au sein de votre famille se cache un traître, ou un espion ennemi. Il est nécessaire que vous soyez vigilent dès à présent. Savez-vous qui aurait pu approcher ou aurait parlé avec elle ?

Yua changea son regard de direction afin qu'il capte l'attention d'Haku qui manifestement prenait son pied depuis qu'elle avait retrouvé le goût du tabac.

-Tachez de rester sur vos gardes à présent soldat, et essayez de recouvrir la mémoire au plus vite.

« Il est inutile de lui demander de trouver la personne lui ayant fait cela, elle ne pourra pas se souvenir, mais si le traître lui donnait une indication par mégarde ce serait possible que son état se débloque un peu. »

-Quant à moi je réfléchirais sérieusement à votre proposition, seulement il sera nécessaire que cette situation soit réglée avant qu'un nouveau conseiller soit élu dans votre famille.

La jeune femme donna finalement Sanction à Haku, puis elle resta figée, comme à son habitude, en attendant que les Sowano quittent la pièce après leurs réponses ou leurs dernières questions ?

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Sanction donnée à Haku, mais mission non-validée Smile

- Je comprends capitaine, j’en ferais par directement à notre chef et nous ferons le nécessaire pour trouver le coupable.

La conversation se termina d’une manière positive, enfin presque, car au moment que Yua terminait sa dernière phrase, une explosion retentit dans la cité. Haku réagi aussitôt en même temps que Shin qui se tournèrent et s’approchèrent vers une fenêtre. Le souffle de l’explosion atteignait directement le quartier général qui fut ébranlé par le violent explosion. Au loin, Haku pouvait apercevoir la fumée noire monter vers le ciel alors qu’un incendie s’était déclencher dans le quartier riche, à l’endroit même où le domicile Dokujis avait pour emplacement.

« S’était un sacré explosion… On ne peut pas rester là sans rien faire! »

- Sa augure mal tout ça… Que faisons nous capitaine?

Haku avait reprit du sérieux tout à coup, alors que Shin de son côté semblait un peu bousculer face à cet attentat. Il ne dit rien et préféra garder le silence, laissant toute la place à Haku. La jeune femme perdit son air arrogant et feignante qu’elle avait depuis un moment et elle était prête à agir, mais avant que celle-ci ne s’emporte un peu trop, elle sembla aussitôt se calmer et un chuchotement presque inaudible semblait venir lui chuchoter à l’oreille :

« Pas maintenant… »

Elle sembla un peu chancelante et Shin déposa une main sur son épaule pour la calmer. Haku secoua vivement la tête de gauche à droite et sans trop savoir la raison de se changement, elle dit à Yua d’une voix calme :

- Cette attentat semblait venir contre vous, capitaine… Je crois que vous seriez la meilleure pour trouver le responsable… mais je peux toujours vous secondez…

« Pourquoi je lui propose mon aide?! Je manque de sommeil je crois… ou de clope… ou les deux… mais une cigarette et le sommeil n’est pas sécuritaire.»

- Pardonnez moi de ne pas pouvoir vous aidez dans vos recherches face à cette attentat capitaine… mais je suis un diplomate, pas un soldat, ni un espion. Mais je ferais mon possible pour trouver la taupe dans notre clan…

Qu’allait dire ou faire Yua concernant cette situation?

Alors que Yua pensait fortement à rejoindre son frère, un nouvel événement vînt perturber ses envies. Elle perçut une forte d'inquiétude émanant d'un quartier tout proche d'elle, et la localisation de ce dernier ne lui étant nullement inconnue. La capitaine resta stoïque tandis qu'Haku et Shin se penchèrent près de la fenêtre pour observer le nuage de fumée qui se dégageait de la propriété des Dokuji. Elle n'avait pas besoin de voir, les pensées des témoins lui suffisaient.

« Quand je trouverais cet enfoiré... »

Yua contenait parfaitement sa colère, ce serait en revanche différent le jour où elle trouverait l'auteur de cet attentat. Haku aussi fut irritée par cela, elle voulut directement agir, seulement une voix dans son esprit fit son apparition, une voix qui n'était pas la sienne.

« Alors il a aussi accès à ses pensées... »

Les choses semblaient se préciser, et le soldat était réellement perturbée par ce qu'on lui infligeait. Elle souhaitait offrir son aide presque automatiquement, alors qu'elle n'en avait pas particulièrement envie finalement. Yua ne pouvait pourtant pas refuser, elle souhaitait la garder auprès d'elle pour surveiller l'avancée de la manipulation dont elle était victime.

-Accordé. Venez avec moi.

La capitaine cette fois-ci insista lourdement pour que Shin Sowano quitte le bureau en ouvrant la porte pour lui indiquer le chemin à prendre dès à présent.

-Vous contenter de cela sera suffisant. Merci.

Yua quitta le bureau et ferma à clef derrière elle. Elle croisa par la suite des soldats d'élites dans les couloirs et leur donna des ordres.

-Dépêchez des unités médicales, qu'ils se rendent autour du domaine du commandant Dokuji et apportent leurs aides aux victimes de l'explosion.

Puis les deux femmes quittèrent le quartier générale, il fallait trouver ceux qui cherchaient à mettre à mal la vie coloniale.

Apparemment, il y'avait beaucoup de mouvement dans la colonie du Yuukan. Les soldats semblaient a l'affût en ville, et puis une certaine insécurité ou malaise régnait, l'homme qui avait débarqué sur la terre ferme, le savait, sans même avoir besoin de questionner les individus. Il était au courant pour l'explosion, l'attentat du domaine dokuji, qui était le domaine du commandant. Il ne s'arrêta cependant pas a ces quelques détails, et continua de s'avancer en direction du quartier général. Il salua quelques gardes au passage, et lorsqu'on lui demandait son identité, il n'avait qu'a sortir une carte doté d'une signature et d'un sceau de l'Union, assez important pour écarter le menu fretin de son passage.

Quelle effervescence, quel mouvement.

Il monta les escaliers cherchant le bureau du commandant, il ne tarda evidemment pas a tomber dessus, et comme s'il connaissait le chemin. Pourtant de mémoire, il n'était pas venu sur le yuukan, pas depuis ces dix dernieres années en tout cas. Mais les travaux avaient étés peu nombreux depuis le renforcements des hauts murs, les attaques avaient cessés dans un grand périmètre sécurisé, que ce soit de la part d'eventuelles créatures ou des ninjas. Il atteint finalement un petit emplacement d'attente, un soldat du secretariat sans doute, lui demanda son identité, la raison de sa venue, et souligna que le bureau etait fermé et le commandement absent. Que ce soit conseillés ou commandant, sans qu'il n'épilogue dessus d'ailleurs.

Oh, vous êtes.... Excusez moi, je ne savais pas, vous pouvez attendre ici.

Oui oui, je sais mon brave, je vais attendre rassurez vous.

Alors l'homme attendit, non loin d'une fenêtre, sa venue avait déja été signalé de toute maniere, c'était le protocole en vigueur sur les entrées importantes sur le port, donc il ne se faisait pas de soucis. Quelqu'un viendrait bientôt, pour l'accueillir, il prit son mal en patience en ressortant son jeu de carte, jouant avec quelques minutes, puis le rangea et commença a sourire... Oui, quelqu'un allait arriver.

Intéressant.

Pour le moment, l'identité de l'homme, la raison de sa venue, tout ça restait flou, mais peut etre que le temps et les posts, nous menerais a une réponse concluante.

Le commandant avait passer un petit moment dans les rues, cela avait plusieurs interets prendre la temperature des lieux tout en ne demandant rien a personne. Il n'avait fait que passer sans dire un mot a qui que ce soit, son but etait simple et facile a comprendre en passant a coté des gens il avait réussi a savoir ce que chacun pouvait penser et donc réussir a avoir une vision assez general de ce que le peuple pouvait avoir comme idée.

Tout ceci pouvait avoir peut d'importance, mais surtout cela lui donner l'occasion de savoir si il etait temps ou non de passer a un degrés superieur de controle des masses. Pour cela il savait deja ou appuyer et de quel maniere pour réussir a créé les réactions de son choix, il pourrait donc bientot essayer de voir si les civils souhaiter ou non aller plus loin sur une vie non militarisé. Car oui c'etait le but de base de la creation de ce village qui au final n'etait devenu qu'un simple copier coller du village ninja avec de legere difference sur les methodes, mais en observant un minimum les choses il etait facile de ce rendre compte que tout ceci n'etait a l'heure actuel qu'un brouillard qui empeche les masses de réagir correctement.

Apres sa longue balade il passa directement au lieu le plus important d'apres beaucoup, le quartier general, ce lieu qui avait pour but de réunir les personnes soit disant les plus utiles au village afin qu'ils puissent prendre ensemble les decisions qui leur sembler les meilleur pour le peuple.

Alors qu'il y entrait sans preter attention aux diverses histoire differente au sujet de l'attenta contre son domicile. Une unité de garde alla directement lui faire un rapport sur ce qui etait en cours, il s'approcha donc du plus gradé.

-Tout ceci n'est que du materiel, peut etre que certain pense que en tant que commandant je suis avec ce genre de demeure trop loin du peuple. Si c'est ce que souhaite les villageois alors laisser mes quartiers comme ils sont, je n'attache aucune importance a tout ceci, en revanche ceux qui sont mort pour cela doivent etre venger, c'est la seule chose importante pour le moment. Occupez vous de ça !

Il avança ensuite entrant dans le batiment et alla directement sur les etages les plus elever, il acceda rapidement a son bureau, il vu assez rapidement que sa soeur etait passer par la durant son absence. Il regarda rapidement les differents dossiers et approcha de la vitre donnant sur la cité et commença a le feuilleté en meme temps qu'il garder cette ville sous ses yeux.

Après l’intervention du garde dans l’hôpital, Haku et peut-être Yua décidèrent d’aller au quartier général pour rencontrer cet individu nouvellement arrivé dans la colonie en provenance du continent (enfin je ne suis pas trop sur que cette phrase se dit tel quel, mais bon). Ainsi, le soldat sans doute suivi du capitaine grimpa l’escalier qui menait dans le quartier général. En route vers le bureau du commandant, la jeune femme réfléchissait au dernier événement qui s’était déroulé depuis quelques jours. L’explosion de la maison du Herr Kommandant et la mort de nombreux civils et soldats l’avaient bouleversé. Tous ces événements avaient débuté après qu’Haku eut un malaise.

En marchant dans le couloir, la jeune femme se perdit dans ces pensées. Elle réfléchissait à tous les événements qui avaient eut lieu depuis son malaise. Yua suspectait les Sowanos et plus Haku y pensait et plus elle pensait que les suppositions du capitaine semblait être juste, mais le seul problème était l’explosion. Il ne semblait y avoir aucune manigance du clan Sowano dans cette affaire, mais encore une fois, il n’y avait rien de sûr là-dessus.

« Nous devrions régler ce problème le plus tôt possible avant qu’il y ait plus de mort. »

Le soldat arriva en premier devant le bureau du commandant. Elle respira profondément et frappa quelques coups à la porte. Après un moment, on lui demanda (sans doute) d’entrer. Au moment qu’elle mit le pied dans le bureau et qu’elle aperçu l’homme venant du continent, son esprit se brouilla comme s’il y avait des interférences. Elle cligna des paupières et bredouilla quelques mots qu’elle avait vraisemblablement de la difficulté à articuler.

- Dé…désolé de vous déranger commandant et… euh… monsieur? Dit-elle avant de prendre une position de garde à vous.

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