Bureau du Commandant

Visiblement, le comman... Non... Le Kommandant etait de retour parmi les siens. Il monta et passa directement dans son bureau, comme un homme a la fois pressé, et a la fois engagé dans quelque chose. Il était la, c'était le principal. Le soldat vint alors proche de l'homme du continent, pour le présenter a Higure et l'introduire dans le bureau, ce qui se fit d'une maniere naturelle. L'homme en question approcha, un peu avant l'arrivée d'Haku, si nous en suivions le rp.

Commandant Higure, bonjour, je fais parti de l'E.U.G.C, je vous avais fait parvenir il y'a quelques temps, une missive sur l'ordre 105 et je viens vous en parler. Vous pardonnerez mon intrusion si importune, mais je n'avais d'autres possibilité.

Puis il prit place, tout en restant debout dans la salle. C'est a peu pres a ce moment la, qu'Haku fit son irruption, toquant a la porte, saluant le commandant et remarquant gêné, l'homme du continent, qu'elle ne connaissait pas. Elle se demanda même son nom, par le biais d'un "monsieur... ?" Auquel l'homme répondit.

Appelez moi Officier Oswald, Soldat.

Yua ne tarderait peut etre pas a mettre elle aussi ses pieds ici, en compagnie de son frere, mais pour l'heure, Oswald, puisque tel était son nom, se retourna vers le commandant, qui allait être occupé apparemment. Et il n'était pas vraiment question d'entrer dans les détails de l'ordre d'execution numéro cent cinq en présence de soldat.

Je vous parlerais plus tard, ce n'est pas vraiment une question de temps, j'ai tout mon temps.

En revanche, si Higure tentait de sonder l'esprit d'Oswald, il pouvait alors remarquer une chose peu commune. Oswald pensait a l'as de pique, tout le temps, comme s'il n'avait que ça en tête, bloqué sur cette unique image et unique idée. Vous, chers joueurs, en sauriez d'avantage sur cela, mais plus tard. Higure ne devait pas être si étonné, il avait en face de lui, quelqu'un faisant parti de l'Elite de l'Union Gouvernementale Coloniale. L'homme patienta donc sur le coté, il était même prêt a quitter le bureau si tel était le souhait d'Higure, le temps pour celui ci de regler ses missions...

" ... As de pique, as de pique, as de pique, as de pique... "

Je suis disposé a attendre, aucune inquietude.

Higure etait donc maintenant tranquillement dans son bureau, enfin tranquillement c'est vite dit car a peine etait il entrée que deux autres personnes vinrent a leurs tour faire une visite au leader de la cité colonial. Le premiers fut une surprise car il etait un invité du continent et donc quelqu'un de possiblement superieur a notre petit medecin. L'autre c'etait simplement le soldat qui etait precedemment conseiller, mais la ce serait bien plus rapide.

"Ouaip, la surprise est en face de moi, decidement on a du bol. Il arrive pile apres un attentat."

Il commençait par repondre a sa soeur, ce qui a son point de vue etait le plus important, bien que pour beaucoup d'autre ce ne serait pas le cas. Lui avait decider qu'il en etait ainsi et n'aller pas faire quoi que ce soit d'autre tant qu'il n'en aurait pas envie.

"J'te laisserai jouer avec, j'ai juste besoin d'un d'entre eux pour etre honnete. J'pense pas qu'il ai besoin de nous deux, j'te ferais signe si besoin, mais j't'envois le soldat avec plaisir."

Il ce tourna vers Haku pour debuter, il l'observa a peine a s'adressa a elle comme le ferais tout haut gradé dans une situation identique.

-Soldat, vous avez des superieur hierarchique, rien ne vous donne le droit de vous presentez directement a moi. J'espere ne pas avoir a redire ce genre de chose sinon ce sera la cour martiale. Veuillez quitter mon bureau.

Il guida la jeune Sowano dehors avant de lui fermé la porte au nez sans attendre la moindre reponse. Il passa ensuite au nouveau visage, celui si avait brievement expliquer la raison de sa venue, chose a laquelle Higure repondu par un hochement de tete et ecoutas le tout, avec une legere precision qui ne l'interesser pas pour le moment.

-J'ai bien reçu votre missive est j'en ai remplis les conditions. Toutes les informations demander sont bien ranger tout dans ma tete, etes vous la pour en prendre connaissance ?

La premier question fut poser rapidement, le commandant savait pourquoi il posait cette question et savait tres bien que malgrés la destruction de son bureau dans son domaine il avait un moyen simple et tres efficace de pouvoir donner les informations.

-J'ai aussi tout mon temps, j'espere que le voyage vers ce continent de sauvage et de violence n'a pas etait trop desagreable. J'aimerais vous dire qu'ici tout avance, mais a chaque fois que nous faissons deux pas en avant, malheureusement peut de temps apres nous sommes ralenti par le manque d'effectif et de renfort du continent.

Higure avait debuter de maniere simple et efficace une discution qui aurait sans doute un interet, mais cela ne pourrais ce voir que par la suite, il ne faut pas griller les etapes.

Le commandant avait enfin remarqué la venu du noble etranger, qui se présenta sous le diminutif et nom, d'Oswald. Un membre de l'EUGC, une élite coloniale et d'un grade officier, juste en dessous du commandement. Il pouvait faire parti d'un groupe n'aspirant pas vraiment a diriger de plein front en pleine lumiere, mais plutôt dans l'ombre. Quoiqu'il en soit, Higure ordonna a Haku de s'adresser avec bien plus de maniere, de courtoisie et de respect envers des membres de l'Union, des gradés et lui même. Puis lui ordonna de quitter le bureau. Oswald n'aurait parlé qu'une fois cette derniere sortie, voila pourquoi il est tres important de souligner qu'avant cela, il n'aurait pas dit un mot de plus, si ce n'est.

Oh ce n'est rien. Je suis moi même fautif, Commandant. Je ne me suis pas présenté conjointement aux regles et différent protocoles de sécurité.

A partir d'ici, Oswald se tût et laissa la Soldat Sowano quitter le bureau, si elle s'eternisait (et elle en avait le droit en rp, l'homme de l'Union n'aurait rien ajouté) Mais admettons maintenant qu'elle soit partie, et dans ce cas, la conversation pouvait commencer entre l'officier gradé et le Herr Kommandant. En effet, ce dernier lui avait envoyé une missive, et l'Union surveillait de pres la colonie, son développement, le respect des regles, tout ça quoi.

Je suis aux ordres du Général de L'union, directement chef de la source EUGC. Nous sommes chargés de veiller au plus pres a ce que tout se passe comme prévu, selon les regles. Et je venais clairement prendre connaissance du terrain, des nouvelles, mais aussi vous felicicter. Les nouvelles nous sont arrivées, même si vous ne nous avez pas tenu personnellement au courant, d'ailleurs j'aimerais savoir pourquoi.

Au cas ou le Kommandant ne voit pas vraiment de quoi voulait parler Oswald, petit rappel et retour en arriere. Dans la missive, l'Union esperait qu'apres l'assassinat du Kage coté Shinobi, le prochain, en l'occurrence "la prochaine", Yuuji, aurait été encore plus bête pour tomber dans le panneau, et ce fut le cas, assassinée a peine quelques jours apres son mandat. Les nouvelles de sa mort via les quelques espions coté shinobis, n'avaient pas mis longtemps a parvenir au port de l'union, puis jusqu'au continent.

La mort de cette Kagette est un succes de plus sur notre avancée. Mais l'ordre 105 est un peu plus particulier, il ne concerne pas que les Ninjas, mais aussi le terrain d'Oni. Avec tout ce que l'on entend dessus.

Ainsi, l'ordre 105 etait un subtil melange de plan qui determinait le futur du monde shinobi et démon. Que voulait vraiment le continent ? Oswald ajusta ses lunettes avec un petit sourire, et toujours la même pensée focalisé sur l'as de pique. Il se permit de s'asseoir avec l'accord du commandant bien sur, sinon il ne l'aurait pas fait.

Bien, en tout cas, vous avez les félicitations, et même une médaille qui vous attends lors de votre retour sur notre bon vieux continent. Vous avez établis un conseil, des regles, tué la kage, vous enchainez les exploits, pourtant, les soldats qui courraient un peu partout tout a l'heure, et cette fumée qui a mit bien du temps a se dissiper au dessus des nuages, me laisse penser que tout ne va pas si bien. Alors, bien que ce soit un peu déplacé de ma part, vu mon grade, de vous demander cela Commandant, au nom du Général bien évidemment, je souhaiterais un rapport sur vos faits d'armes détaillé, et votre avis sur la situation, ainsi que vos prochaines actions pour l'Union, sur le Yuukan.

Maintenant, le Herr Kommandant savait un peu plus a quoi s'en tenir, et a quoi répondre. Oswald risquait de rester un peu, de faire aussi de la paperasse, de regarder la ville, étudier le terrain... Qui sait quoi d'autre.

Higure etait rester face a la fenetre, il etait bien a cette place et ne ressentait pas le besoin de tourné dans la piece comme un animal dans une cage, ni meme le quelconque besoin d'aller s'assoir comme il l'aurait fait avec tout autre personne bien plus proche avec qui il etait plus famillier. Il plaça des le depart une situation assez interessante, chacun des deux hommes n'avait pas les memes informations sur l'autre, Higure pris donc le temps d'ecouter tout ce que l'homme avait a lui dire avant de ne faire quoi que ce soit. Mais assez rapidement il debuta par de simple, enfin a son sens, reponse aux phrases du dénommé Oswald.

-Effectivement vous n'avez pas respecter le moindre protocole de securité, mais a cela rien d'etonnant de la part d'un service de renseignement. En revanche quelqu'un de mal intentionné pourrait profiter de votre venu inapproprié pour vous faire porté le chapeau sur l'attenta effectuer comme mon domicile et donc ma personne. En expliquant simplement que le continent souhaite faire pression d'une maniere ou d'une autre ou alors essayer de semer le doute sur la population afin d'etre sur que le leader actuel ne soit pas trop dans les bonnes grace de son peuple.

Higure observa un petit moment le batiment éventré par l'explosion en citant ce qui lui passer par la tete, il avait ses raisons de dire cela et comme souvent rien n'etait sans but, mais sans doute que beaucoup verait cela comme une simple menace effectuer afin de faire pression face a un homme possiblement plus haut gradé que le commandant.

-Tout ne peut pas ce passer comme prevu, sinon vous ne vous serviriez pas du peuple de ce lieu pour créé une guerre mais au contraire vous vous serviriez de diplomatie et d'intelligence pour prendre le pouvoir, chose que vous n'avez pas su faire. Il n'y a pas de regles en periode de guerre et encore moins sur un territoire appartenant au depart a l'ennemi.

Higure etait volontairement sec, aussi bien sur sa maniere de donner des reponses que sur celle ci, mais pourtant a aucun moment il ne manquer de respect ou ne dénigrer quelqu'un, voila en quoi il pouvait avancer avec ses methodes et cela pour aller a un point precis.

-Me feliciter, mais de quoi ? D'avoir réussi a sauver ma famille d'une possible mort, ne vous inquietez pas pour cela, c'est toujours la priorité absolu. Vous voulez prendre connaissance du terrain, chaque sortie est plus dangereuse que la precedente, les morts ne ce compte plus et tout cela avec un soutient des plus douteux de la part de mes soit disant superieur, pourquoi je n'ai rien signaler. C'est tres simple, lorsque l'on supprime l'un des leurs les ninjas les remplacent aussi vite que possible. Eliminer leur leader militaire ne sert a rien, il en arrive un nouveau tout aussi rapidement, donc non il n'y a pas la moindre avancer.

Higure ce tourna un moment vers son interlocuteur, il ne le regardait pas vraiment a lui, plutot dans sa direction. Il cherchait a sentir si celui ci avait un but pour sa visite ou simplement faire de la paperasse et ensuite aller faire son rapport au general et laisser le reste ici comme si rien ne ce passer et comme si cela arriver bien trop loin pour que ça concerne réellement le continent.

-Mon retour sur le vieux continent, vous devez faire erreur, dommage pour un service de renseignement. Si vous aviez mieux revisser vos fiches vous auriez appris que je suis né ici, j'y ai grandi et j'ai aussi appris mon travail ici. Je n'ai jamais poser les pieds sur le vieux continent et ce n'est pas pour les medailles que je fait cela. Je pense avoir repondu a la plupart de vos demandent, quand a ce que je compte faire, c'est simple, offrir a ce peuple ce qu'il souhaite depuis le debut de cette rébellion.

Le commandant ce tourna a nouveau vers la grande baie vitrée, obsevrant alors tout ce petit monde qui fourmille dans cette grande citée. Pensant a eux dans la generalité mais aussi de maniere unique et tout a fait personnelle.

-Ce peuple c'est retourné contre les ninja pour ne plus avoir a subir les mefaits d'un ordres militaire, pour ne plus avoir a subir les guerres entre chaque pays et pour essayer de vivre dans une paix simple et avec les plus grand comme les plus petit au meme niveau. Voila ce que je compte faire, donner a ce peuple ce qu'il reclame depuis le debut et que ce que nous nommons colons n'ont jamais su leur offrir, cette guerre n'est pas une solution mais bien un nouveau probleme.

Higure avait un leger sourire sur les levres et a ce leger instant de calme il eut une pensée plus particuliere pour sa soeur qui aurait sans doute stoppé son elan de discour face a cet officier, mais Higure aimait bien donner un coté plus théatral aux choses surtout celles etant aussi pompeuse et pleine de cirage de pompes que l'accueil d'un gradé du vieux continent.

Higure etait tres calme, d'un flegme a toute epreuve, mais il semblait aussi avoir un coté mysterieux, il n'était pas un commandant comme les autres, ou plutôt ceux du continent. Car oui, plusieurs commandants, pas des tonnes non plus, se partageait des zones sur l'autre rive, mais ici sur le Yuukan, Higure avait les pleins pouvoirs. Bref, il notifia a Oswald qu'en effet, ce dernier n'avait pas respecté les protocoles. Higure semblait un peu parano, il pensait que le continent voulait faire pression sur lui, tout du moins émit l'idée du comme quoi, l'attentat pouvait venir d'Oswald. L'officier ne répondit pas, il était protégé grâce a certaines immunité et avait un alibi. Cependant il fit sa remarque apres.

Donc, c'était ça, toute cette cohue. Un attentat ? Je vois. Ce n'est pas un bon point pour l'Union en fait, le but étant d'avoir sécurisé le perimetre sur une large zone. Cela signifie que cet objectif n'est pas encore atteint.

Gribouillant un peu des notes sur quelques cartes blanches, Oswald les rangeas apres coup dans sa veste. Puis il continua d'ecouter le dialogue d'Higure. D'ailleurs, ce dernier remettait certaines choses en question, ce n'était pas vraiment dans l'interêt du commandant de defendre le pays ennemi de l'Union même s'il avait le droit a ses propres convictions.

Je ne fais pas de politique. Ca ne m'interesse pas. Je vous signalais juste que selon les ordres de la missive, le plan avait été suivis et se déroulait donc comme prévu. Rassurez vous commandant.

Mais Higure semblait gêné de quelque chose. Lorsqu'Oswald lui dit qu'il serait felicité, avec le champagne, les trompettes et les médailles. Et qu'il pourrait retourner sur le continent, le Herr Kommandant fut un peu plus cinglant, sans être irrespectueux pour autant. D'un ton volontairement sec et franc, il signala a la fois qu'il se fichait des médailles et des félicitations. Qu'il trouvait normal de simplement proteger la populace et sa famille. Mais également que les sorties étaient vraiment un grand danger, un fléau, et pour finir, que tuer la kagette n'avait pas fait avancer le shmilblick. Oswald fit un petit sourire en coin, redressa ses lunettes et répondit.

C'est tout a votre honneur. L'union apprécie votre dévotion. Quand aux sorties, ne vous en faites pas pour moi, si je dois en faire, je saurais m'assurer. Et puis, tuer leurs leaders a permis de les affaiblirs, même s'ils en ont élu un nouveau, cela n'a pas d'importance, ils doivent savoir que l'Union est plus forte qu'eux. C'est un simple message, une bataille a la fois concrete sur le terrain et psychologique. En temps de guerre, cela peut avoir des effets non négligeables. Mais comme je l'ai dit, la politique ne m'interesse pas. Je ne prends pas le gros des décisions.

Oswald etait un exécutant. Mais la conversation se poursuivait. Toujours legerement titillé, ou avec un je ne sais quoi derriere tout ça. Higure signala cinglant encore une fois, qu'Oswald etait mal informé, et qu'il ne venait pas du continent, était né ici et n'avait aucun interêt d'y aller. Il ajouta qu'il ne voulait que ce que son peuple voulait. Oswald répondit sur un ton un peu plus froid, mais pas antipathique.

... C'était pour être poli. Mais, sachez que si le général ou l'Union vous demande, vous serez congédié un temps pour y aller. Bien que cela ne risque pas d'arriver, nous avons grand besoin d'un commandant sur le terrain ici même, et vous n'avez pas été choisi pour rien. Je sais que vous avez cette connaissance du Yuukan que d'autres n'ont pas.

Oui, oswald le savait, mais il avait voulut être poli, en indiquant que l'Union était aussi chez lui. Bref, Higure semblait un peu vif ou alors sur le qui vive, ce n'etait pas grave, il avait un taff stressant, il fallait l'avouer, il était au front tout de même ! La derniere partie de la conversation était plus intimiste et d'une opinion plus personnelle. Oswald écouta tout en se relevant, et fixant a son tour la fenêtre.

Vous avez le droit d'exprimer votre opinion commandant. J'execute les ordres. Hors de cela, je vous avouerais que je me fiche du sort des gens du Yuukan. A l'heure actuelle, il y'a deux camps, et pour que la paix regne, que notre monde puisse offrir un veritable avenir a ce monde, il faut que l'un de ces camps disparaisse. Les shinobis sont destinés a périr, c'est ainsi. Nous offrirons la paix durable, la civilisation et toute sorte de chose ici. Cela viendra avec le temps.

Oswald savait aussi être cash. Mais voila que la conversation se finissait, et qu'apres quelques notes, un rapport pouvait être fait, sur Higure bien sur, sa politique, ses opinions, l'état de santé du village et du port. Il manquait encore quelques détails, mais cette premiere lettre pourrait etre envoyé ce soir. Il salua le commandant, et puis dit ;

Bien, j'ai une premiere partie de mon rapport, je l'enverrais sous peu, ils l'attendent. Je vais séjourner ici, je serais dans l'une des auberges, j'ai une immunité d'ordre conféré uniquement par l'Union au continent, ce qui signifie que pendant le temps de mon séjour, je ne suis que sous leurs ordres et non les votres, mais sachez que je me tiens a votre dispositions. Commandant, je vous laisse.

L'officier s'apprêtait a quitter le bureau, a moins que, le Herr Kommandant n'ajoute encore quelque chose ou veuille la présence d'oswald dans le bureau encore quelques temps. Sinon, il partirait.

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